Le rhinocéros blanc du nord de l’Afrique est en phase d’extinction.
Il n’en restait plus que 3 dans cette région dont un mâle âgé.
Au début des années 60 ils étaient 2330 et plus que 30 en 1991, aujourd’hui on rabote régulièrement les cornes des rares survivants afin de dissuader les braconniers.
Il restait un mâle Sudan qui avait 45 ans, hélas il est mort de vieillesse le 19 mars 2018 et aujourd’hui les 2 survivants sont deux femelles , sa fille prénommée Najin et sa petite-fille Fatu.
C’est triste surtout pour une espèce apparue il y a 50 millions d’années en Afrique centrale.
Les rhinocéros noirs sont aussi hélas en grosse chute démographique puisqu’ils étaient 850 000 en 1900 et 5000 aujourd’hui
Quant aux rhinocéros blancs on a vu ironiquement qu’ils sont en voie d’extinction dans l’est de l’Afrique appelée aussi la corne de l’Afrique.
Les rhinocéros blancs du sud qui vivent essentiellement en Afrique du sud mais aussi dans les pays limitrophes sont aujourd’hui plus de 20000 notamment grâce aux efforts des sud africains car en 1968 ils étaient en danger et n’avaient que 800 représentants.
L’Afrique du sud a donc effectué un très bon travail pour la sauvegarde de cette espèce.
Les conséquences de cet infâme carnage concernant les rhinocéros en général sont essentiellement dus à des braconniers sans scrupules à cause de leur cornes notamment pour la Chine et le Yémen.
Au début des années 2000 les derniers rhinocéros blancs survivants à l’état sauvage n’étaient plus que quelques dizaines en République démocratique du Congo ont étés hélas tués pour financer des groupes militaires.
Le dernier rhinocéros blanc du nord a l’état sauvage a été croisé en 2006 et en 2008 WWF déclarait la sous espèce éteinte à l’état sauvage.
Sudan était le dernier rhinocéros blanc né à l’état sauvage et sa mort est un symbole du mépris de certains humains pour la nature.
Avec cette triste disparition s’amenuise tout espoir de reproduction pour cette sous espèce puisqu’il ne reste que 2 femelles, Najin donc qui a 29 ans et Fatu qui a 18 ans, la seule éventuelle solution ont expliqués des vétérinaires spécialisés résiderait dans le développement des techniques de fécondation in vitro et avec la technologie des cellules souches, ce sont des procédures complexes et coûteuses qui n’ont jamais étés tentées auparavant chez le rhinocéros.