Naufrage du Titanic : incapable d’abandonner son Dogue Allemand, découvrez l’histoire de cette jeune femme qui a refusé d’être sauvée !
Plus d’un siècle après le naufrage du Titanic, cet évènement suscite encore un grand intérêt, tant de la part du grand public que des historiens.
Cette tragédie est aussi un ensemble de drames individuels et chacun de ces derniers mérite qu’on s’y attarde.
L’une de ces histoires concerne une femme et son chien qui se trouvaient à bord du paquebot quand il a sombré.
Le Titanic a coulé dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, au large de Terre-Neuve (Canada).
Le paquebot avait quitté son port d’attache en Angleterre pour rallier New York, pour une traversée de l’Atlantique Nord qui devait pourtant se dérouler sans histoire.
C’est, en tout cas, ce que promettaient les constructeurs de ce géant des mers et les médias, qui le qualifiaient d’ insubmersible ».
Une collision avec un iceberg a eu raison de lui et environ 1500 personnes ont perdu la vie.
Parmi elles, Ann Elizabeth Isham, une Américaine fortunée qui vivait à Paris depuis un certain temps.
Elle envisageait de rendre visite à sa famille à Chicago en embarquant à bord du Titanic en compagnie de son chien, un Dogue Allemand.
Tous 2 ont toutefois péri dans le naufrage, alors que les passagers les plus aisés étaient admis prioritairement dans les canots de sauvetage.
Écrivain passionné de chiens, Malcolm Croftévoque évoque ce récit dans son livre intitulé « Super Dogs : Hearts-warming Adventures of the World’s Greatest Dogs ».
Il y expose sa théorie pour expliquer le décès d’Ann Elizabeth Isham alors qu’elle avait la possibilité d’en sortir vivante.
D’après lui, elle aurait tout bonnement refusé de rester à bord du canot où elle avait embarqué parce qu’on lui avait dit que son chien n’y était pas accepté, rapporte Curioctopus.
La native de Chicago ne s’imaginait pas partir sans son Dogue Allemand adoré, et aurait donc quitté l’embarcation pour rejoindre l’animal à bord du navire qui coulait. Leurs corps sans vie ont été retrouvés par la suite dans l’épave.
L’amour qu’avait Ann Elizabeth Isham l’avait amenée à préférer mourir à ses côtés, plutôt que survivre en sachant qu’il ne pouvait pas s’en sortir.