Les premiers spécimens sont apparus il y a 2,5 Millions d'années.

Classification générale    

Classification    Animalia

Embranchement    Chordata

Classe    Mammalia

Ordre    Carnivora

Famille    Felidae

Sous-famille    † Machairodontinae

Espèce    † Smilodontini

Genre    † Smilodon

 Especes Disparues

Mammifères appartenant à la famille des félins ayant vécu entre 2,5 millions d’années  et 10 000  ans avant notre ère. 

Pendant cette période, ils ont régné en maître sur la quasi totalité des continents où ils ont pu s’installer.

Ils sont appelés smilodons ou tigre à dents de sabre, cette deuxième appellation étant étendue à d’autres machairodontinés.

Semblable au lion, il était caractérisé par ses longues canines supérieures émergeant devant la mâchoire inférieure.

Attention ! bien qu’ils soient très proche des félins que nous connaissons aujourd’hui, ils ne sont pas parent avec eux.

 Les Smilondon, tigres a dents de sabre, Fatalis et toutes sous-espèces qui ont vécu à cette époque ne sont pas les parents directe de nos félins d’aujourd’hui, ils sont juste une branche *hyper-spécialisée qui c’est éteinte plus rapidement en raison de son incapacité a évoluer pour s’adapter au changement de proies et de climat.

L’hyper-spécialisation

Détermine qu’une espèce à finir d’évoluer sur le plan morphologique, elle ne peut donc plus s’adapter au proies ou au changement climatique, de ce fait son extinction est proche.

Son incapacité d’évoluer dans une période terrestre ou les évolutions se font rapidement, elle ne peut  suivre celle-ci ce qui engendre son extinction.

LES PREMIERS MAMMIFÈRES

Les carnivores

Prédateurs, communément appelés carnivores, sont liés les uns aux autres.

Ils sont les descendants du viel ancêtre Miacis, un petit animal vraisemblablement de la famille du furet, capable de grimper aux arbres.

 Il a vécu du début à la fin de la période Eocene en Amérique du Nord, et vers la fin de cette même période en Europe et en Asie. 

La période Eocene a débuté il y a 58 millions d’années et s’est terminée il y a 36 millions d’années.

Cet animal avait une plus grande capacité intellectuelle que les autres carnivores de l’époque, c’est vraisemblablement pourquoi il est aujourd’hui connu comme étant le père des carnivores modernes.

Proailurus, l’ancêtre commun de la familler des Felidae

L’Ordre Carnivora (mammifères qui sont carnivores) est divisé en plusieurs groupes d’animaux prôches qui sont apellés Famille. (Big cats==Les félins?) Les félins font partie de la famille des félidés (Felidae).

Ses descendants, Proailurus, culminent au sommet de la branche principale de la famille des félins que nous connaissons aujourd’hui, tout comme les deux genres de chats à dents de sabre. 

Proailurus a vécu en Europe il y a 20 à 30 millions d’années.

Pourquoi les dinosaures ont-ils disparu pour laisser place aux mammifères ?

Les smilodons ou Tigres a dents de sabre, bien qu’ils aient vécus entre 2,5 millions d’années et 10 milliers d’années avant notre ère, ils ne sont pas l’espèce originale de nos félins d’aujourd’hui.

Ils sont juste une espèce qui a fait son apparition du tôt que les autres. 

Le plus gros problème que cet espèce a dû faire face est son *hyper-spécialisation, qui l’a mener à sa perte car elle n’a pu s’adapter au variation de température, climat et les proies qui sont devenu plus véloce et plus petites a fur et à mesure de leurs évolutions.

 hyper-spécialisation

L’hyperspécialisation rend les animaux terriblement efficaces dans leur niche écologique mais aussi terriblement sensibles aux différents changements de l’environnement, des écosystèmes …

Ces tigres à dents de sabre n’ont en fait aucun lien de parenté avec les tigres actuels (Panthera tigris).

Des analyses ADN sur les félins actuels et quelques os appartenant au plus connu des tigres à dents de sabre  le Smilodon (13 000 ans) montrent même que ce groupe n’a aucun descendant dans les félins actuels, tous les représentants des différents groupes ayant disparu sans descendance.

A l’époque nous pouvions trouver 3 espèces :

Smilodon gracilis : la plus petite des trois espèces de tigres préhistoriques, la moins massive (entre 55 et 105 kg) est également la plus ancienne.

Il vivait en Amérique du Nord au début du Pléistocène ;

Smilodon fatalis : de la taille d’un lion, il pesait entre 280 et 300 kg.

Il était sociable et vivait au sud de l’Amérique du Nord pendant pratiquement tout le Pléistocène. 

Cette espèce comprend en plus de la sous-espèce type Smilodon fatalis fatalis, deux autres sous-espèces : Smilodon fatalis floridanus et Smilodon fatalis californicus (du sud des États-Unis jusqu’au Pérou) ;

Smilodon populator Smilodon neogaeus) : la plus grande espèce (3 à 4 m) et pesait de 380 à 450 kg.

Mais certains ont pu dépasser 500 kg. 

Il était sociable et vivait dans le bassin brésilien pendant la fin du Pléistocène.

Quant au Lion des cavernes, (Panthera leo spelaea) vivant principalement en Europe, est un grand félin aujourd’hui éteint peuplant l’Eurasie durant la seconde moitié du Pléistocène. 

Son extinction a été provoquée par le réchauffement brutal du climat, entraînant la disparition de ses proies.

Premiers félins

Les carnivores actuels partagent un ancêtre commun dont ils ont tous hérité et qui serait probablement rattaché aux miacidés. 

Ces petits carnivores forestiers seraient apparus il y a environ 60 millions d’années et avaient l’allure et la taille des genettes actuelles, avec un corps allongé et une longue queue. 

Il n’en reste que de rares fossiles dans l’hémisphère nord.

L’origine des félins est mal documentée dans le registre des fossiles car les ancêtres des félidés vivaient en général dans les milieux tropicaux, qui n’offrent pas de bonnes conditions de fossilisation.

Les espèces disparues considérées comme les plus proches de l’ancêtre des félins seraient Proailurus (un petit carnassier européen et arboricole apparu il y a 40 millions d’années) puis Pseudaelurus qui vivait il y a 9 à 20 millions d’années en Europe et en Asie et dont les félins actuels ont divergé il y a 10,8 millions d’années

LES ORIGINES 

Il y a environ 60 Ma d’années et avaient l’allure et la taille des genettes actuelles.

Les espèces disparues considérées comme les plus proches de l’ancêtre des félins seraient

le Proailurus

Un petit carnassier européen et arboricole apparu il y a 40 millions d’années

En Europe et en Asie et dont les félins actuels ont divergé il y a 10,8 millions d’années

Les derniers représentants ont disparu il y a 10 000 ans,

Apparaissent dans deux groupes de carnivores :

LES NIMRAVIDAE, que l’on nomme aussi paléo-félins et les FELIDAE.

Les félins à dents de sabre, de la sous-famille des Machairodontinae disparurent probablement en raison de leur hyper-spécialisation : l’étude de leur squelette révèle des lésions dues à l’extension ou à la flexion des attaches des muscles et des ligaments.

Cet ancêtre était un carnivore forestier et arboricole qui a vécu pendant à peu près 10 millions d’années sur terre et représentant à lui seul la race des carnivores. 

Puis il y a 50 millions d’années selon les chercheurs, cette espèce s’est divisée en 2 parties donnant naissance à la fois aux :

 Caniformes qui regroupent

  • les canidés (chiens),
  • les ursidés (ours),
  • les procyonidés (ratons laveurs et coatis),
  • les mustélidés & méphitidés (belettes, fouines, furets),
  • les ailuridés (pandas roux),
  • Les phocidés (phoques & éléphants de mer)Et les otariidés (otaries & lions de mer).
  • Féliformes et c’est cette catégorie qui nous intéresse car elle contient:
  • Les hyénidés ( hyènes),
  • Les herpestidés (mangoustes & suricates),
  • Les viverridés (civettes & jeunettes) ,
  • Les nandiniidés (Carnivores et du sous-ordre des Féliformes), mais surtout les FÉLIDÉS

PREMIÈRES APPARITIONS DE NOS FÉLINS D’AUJOURD’HUI

  • LIGNÉE DE LA PANTHÈRE    IL Y A 11 MILLIONS D’ANNÉES
  • LIGNÉE DU CHAT BAI    9,5 MILLIONS D’ANNÉES
  • LIGNÉE DU CARACAL    8,5 MILLIONS D’ANNÉES
  • LIGNÉE DE L’OCELOT    8 MILLIONS D’ANNÉES
  • LIGNÉE DU LYNX    7,2 MILLIONS D’ANNÉES
  • LIGNÉE DU PUMA    6;7 MILLIONS D’ANNÉES
  • LIGNÉE DU CHAT DOMESTIQUE    6,2 MILLIONS D’ANNÉES
  • LE SMILODON
Les grands félins préhistoriques, disparus il y a plus de 10 000 ans, ont été omniprésents sur notre planète.

Les tigres à dents de sabre sont apparus il y a plus de 12 millions d’années en Asie et pendant plus de 10 millions d’années, ont conquis la planète, toute entière.

Le plus célèbre de ces super-prédateurs était le smilodon avec ses canines de plus de 13 cm ; massif et tout en muscle, il chassait à l’affut en attrapant ses proies de ses puissantes pattes et les égorgeait avec ses canines acérées.

Personne ne sait exactement ce qui a décimé les smilodons, peut-être une raréfaction de leur nourriture, pourtant il semblerait qu’ils n’aient pas subi de longue pénurie de nourriture.

Néanmoins, ils connurent une extinction massive, peut-être à cause d’un changement climatique ou de la concurrence humaine. 

La question reste en suspens. 

De plus, à  la différence des félins d’aujourd’hui, il semblerait qu’ils faisaient la fine bouche.

Le cougar de l’époque a survécu au smilodon car il était capable de se nourrir de tout et de n’importe quoi.

Il était capable d’ajuster son alimentation en fonction des proies qui étaient disponibles

Les autres félins n’en étaient pas capables, ce qui justifie que le cougar soit encore vivant aujourd’hui.

Les lions américains et les dents de sabre, étaient relativement difficiles, les premiers aimaient la viande fraîche et les seconds se nourrissaient occasionnellement d’os.

L’incroyable force des tigres à dents de sabre

Les tigres à dents de sabre sont encore plus impressionnants depuis qu’un nouvel article leur a été consacré dans une revue scientifique : leurs pattes avant auraient été dotées d’une force bien supérieure à celle des autres félins. 

Tout cela pour ne laisser aucune chance à ses proies…

Aujourd’hui, grâce à Diego, personnage de la série de dessins animés

L’âge de glace, les tigres à dents de sabre, Smilodon fatalis, ou plus simplement smilodon, nous semblent sympathiques. 

Pourtant, il valait mieux ne pas les rencontrer il y a 10.000 ans lorsqu’ils habitaient encore le continent américain. 

En plus de leurs impressionnantes canines d’une vingtaine de centimètres, ils possédaient également une force ahurissante dans leurs pattes antérieures, laissant fort peu de chances aux proies…

C’est en tout cas les conclusions de travaux publiés dans la revue Plos One et menés par un groupe de chercheurs de l’université de Californie à Los Angeles, qui ont débuté leurs recherches sur la base d’une théorie émise suite à de précédentes études.

En effet, les tigres à dents de sabre appartiennent à la même famille que les félins d’aujourd’hui, mais ils se caractérisaient toutefois par la forme de leurs dents. 

Non seulement par leur longueur, mais aussi par leur morphologie : une coupe transversale des crocs montrerait une section ovale et non pas ronde comme chez les autres félins. 

En conséquence, la dent ne pouvait pas résister longtemps à la cassure lorsqu’une proie essayait de se débattre. 

Pourtant, tous les tigres à dent de sabres retrouvés ont les crocs intacts… 

De plus, la puissance de la mâchoire est trois fois plus faible que celle d’un lion par exemple.

Comment, alors, le smilodon parvenait-il à attraper des proies ?

Il était donc fortement suspecté que, à l’inverse des autres félins, le tigre à dents de sabre immobilisait d’abord sa proie avant de l’achever en plantant ses crocs. 

Cette hypothèse vient tout juste d’être prouvée grâce à la comparaison des os des pattes antérieures de ce gros chat à ceux d’autres félins actuels ou disparus, animaux disponibles au Musée national d’histoire naturelle de Washington. 

Ainsi, 28 espèces actuelles ont été incluses dans l’étude, du chat margay de 3 kilogrammes au tigre de plus de 250 kilogrammes, sans oublier un autre félin disparu, le lion d’Amérique ou Panthera atrox

Des humérus de jaguar, et de tigre à dents de sabre, ont été comparés par analyse aux rayons X. 

Ceux du smilodon ont un diamètre et une épaisseur d’os plus élevés, synonymes d’une résistance accrue

Des humérus bien plus solides

Les différents humérus ont été analysés aux rayons X, méthode utilisée pour déterminer précisément à la fois le diamètre des os et l’épaisseur de matière osseuse (la partie solide autour de la moelle osseuse), représentative de la résistance du membre.

D’une manière générale, la longueur des os, et donc la taille des animaux, étaient proportionnelles à la résistance des os des pattes antérieures.

 Seule exception : le tigre à dents de sabre ! 

Comparés aux espèces de félins ayant environ la même taille, les os du smilodon étaient bien plus larges et épais et donc plus solides.

Ces résultats confortent donc l’hypothèse déjà étayée par de précédentes études : le smilodon se servait d’abord de ses pattes pour attraper et immobiliser l’animal, puis donnait le coup mortel grâce à ses crocs acérés. 

Les deux attributs auraient évolué ensemble, la puissance des pattes antérieures favorisant la protection des crocs.

Les os du tigre à dents de sabre étaient donc lourds et l’animal certainement moins agile que d’autres félins.

 Il était bien adapté à la capture de gros animaux et c’est probablement cette forte spécialisation qui a conduit le smilodon à sa perte.

 Il n’aurait pas pu se réadapter à la capture de petites proies rapides lors de l’extinction de la mégafaune au cours de la dernière glaciation.

Le LION des Cavernes

Le lion des cavernes européen (Panthera leo spelaea) est un grand félin, apparenté au lion et aujourd’hui disparu, qui peuplait l’Eurasie durant la seconde moitié du Pléistocène. 

Son extinction a été provoquée par le réchauffement brutal du climat, entraînant la disparition de ses proies.

  • Panthera spelaea, une espèce éteinte au statut très controversée du genre Panthera, ou les sous-espèces suivantes :
  • Panthera leo spelaea, Lion des cavernes européen ;
  • Panthera spelaea atrox, Lion des cavernes américain ;
  • Panthera spelaea fossilis, Lion des cavernes primitif.
  • Deux lionceaux des cavernes congelés en état remarquables ont été découverts en Sibérie
  • Le lion des cavernes fut probablement l’un des plus gros félins de tous les temps. 

Certaines sources pensent, sur la base de l’examen de la forme du crâne, que cet animal était plutôt apparenté au tigre, et que, mieux que Panthera leo spelaea, il conviendrait donc de l’appeler Panthera tigris spelaea. 

À l’opposé, des analyses génétiques récentes ont montré que, de tous les félidés actuels, c’est du lion moderne qu’il est en fait le plus proche. 

Au bout du compte cependant, on ne sait pas s’il faut le considérer comme une sous-espèce du lion, ou comme une espèce distincte bien qu’ étroitement apparentée.

Tous les indices montrant l’apparence des lions des cavernes sont gravés, peints ou sculptés par nos ancêtres, les hommes préhistoriques.

Une sculpture provenant de la grotte de Vogelherd (Allemagne) montre une tête de lion (d’environ 3 cm) possédant des oreilles rondes et de profondes entailles interprétées comme une crinière.

Des gravures de lions en pleine course provenant de la grotte de La Vache (Ariège) ne possèdent pas de crinière (probablement des femelles) et montrent clairement une queue touffue et un museau moustachu.

Une gravure de la grotte des Combarelles (Dordogne) et une figurine sculptée dans de l’ivoire de mammouth montrant un homme portant une fourrure rayée d’un grand félin (trouvée en Russie), laissent penser que les lions des cavernes étaient rayés — d’ailleurs, serait-ce un tigre ?

Les sublimes peintures de la grotte Chauvet (Ardèche) montrent des lions à queues touffues, de pelage unis fauve et à vibrisses. 

Aucun fauve n’est représenté orné d’une crinière, ce qui laisse déduire que soit ce sont toutes des lionnes, soit que les mâles ne possédaient pas des crinières ; pourtant, certaines représentations montrent probablement des mâles, la forme de leur cou est plus épais, ce qui laisse penser que les crinières sont simplement représentées par un cou plus épais.

Les scientifiques se font donc une assez bonne idée de l’apparence de ce gros félin ; ces indices, et bien d’autres, montrent donc un gros félin à queue touffue, à pelage faiblement rayé et, pour les mâles, une courte crinière.

Les mensurations des lions des cavernes sont uniquement basées sur les fossiles. 

Il était bien plus grand que les lions actuels, les plus gros mâles pouvant mesurer jusqu’à 3,5 mètres de long (soit environ 25 % de plus que les lions actuels). 

La plupart devaient avoir une taille plus modeste, un crâne trouvé près de Vence (Alpes-Maritimes) mesurant 36 cm (30 à 40 cm chez les lions actuels). 

Le plus grand crâne de lion des cavernes provient d’Angleterre et mesure 43 cm. 

Cependant, les lions des cavernes possédaient un crâne plus court que ceux des lions actuels, ce qui laisse penser, par déduction, qu’ils étaient plus grands. 

Les mâles pesaient entre 250 et 320 kg (chez les lions modernes, le poids varie entre 140 et 215 kg), et les femelles, plus petites, près de 175 kg (contre 110 à 170 kg pour une lionne moderne).

Répartition et environnement

Le lion des cavernes a vécu entre -300 000 et -16 500 ans, succédant à Panthera leo fossilis, plus grand et adapté à un climat plus chaud.

Il était le plus gros prédateur des deux dernières périodes glaciaires.

 Son aire de répartition s’étendait de la Sibérie et de l’Alaska (où il cohabitait avec Panthera leo vereshchagini, un autre lion) jusqu’à l’Europe du Sud. 

Même si les lions des cavernes préféraient les périodes plus clémentes, ils fréquentaient également l’Eurasie lors des périodes les plus froides.

Ses principaux fossiles proviennent d’Angleterre, d’Allemagne (notamment en Bavière, grotte de Siegsdorf), d’Europe de l’Est et de Russie, également en France ; proportionnellement aux autres animaux, les fossiles de lions sont rares, ce qui ne veut pas dire qu’il n’était pas présent. 

En novembre 2015, trois cadavres de lionceaux ont été découverts dans le permafrost en Sibérie, dans un excellent état de conservation.

L’habitat du lion des cavernes était la grande steppe de carex, de pâturin, de brome et d’autres graminées de l’époque glaciaire. 

Contrairement à l’idée que l’on se fait de lui, il ne vivait pas sous un épais manteau neigeux, même si les températures les plus élevées de la steppe n’étaient que d’environ -10 °C. 

Les seuls arbres que l’on trouvait étaient des pins, des épicéas, des aulnes ou des saules, accompagnés d’arbustes à baies (genévriers, myrtilles…) et rhododendrons.

Le lion des cavernes vivait dans un environnement peuplé de gros mammifères : ours des cavernes (Ursus speleaus), mammouths (Mammuthus primigienus), bœufs musqués (Ovibos moschatus), mégacéros (Megaloceros giganteus), antilopes saïga (Saiga tatarica), bisons (Bison priscus) ou rennes (Rangifer tarandus). 

Ces derniers devaient être sa proie principale.

Il est également contemporain des premiers humains modernes (Homo sapiens).

Malgré son nom, le lion des cavernes n’habitait probablement pas les abris souterrains, excepté l’hiver pour se protéger du froid.

La chasse

Le smilodon aurait été un super prédateur. 

On estime d’après sa morphologie, sa masse musculaire et sa mâchoire qu’il chassait les grands mammifères : des bisons (jeunes ou malades), des équidés et des camélidés.

On sait qu’il était également charognard car beaucoup de ses fossiles ont été retrouvés autour d’autres fossiles à La Brea.

Il pouvait manger jusqu’à 8 kg de viande par jour. 

Son absence de queue (dont les félins se servent pour équilibrer leur course) et sa morphologie laissent penser qu’il ne pouvait pas courir longtemps et devait donc approcher ses proies par surprise.

Sa mâchoire étudiée par des biomécaniciens montre une capacité de pression bien inférieure à celle d’un lion actuel et équivalente à celle d’un gros chien. 

La longueur et la courbure de ses dents de sabre mais surtout leur grande fragilité sur des mouvements latéraux limitaient grandement sa gamme de proie et sa manière de les attaquer. 

Il ne pouvait ainsi pas les saisir avec la mâchoire comme les félins actuels, mais sans doute les agripper avec ses griffes, les faire tomber, et ensuite d’un coup de mâchoire à la gorge, trancher avec ses dents de sabre les artères vitales de la proie (les félins actuels étouffent le grand gibier en serrant leur mâchoire sur leur gorge).

Le smilodon n’était pas le plus grand prédateur nord-américain du Pléistocène, il était contemporain à Panthera leo atrox (lion d’Amérique) et Arctodus simus (ours à face courte), les deux plus grands prédateurs de l’époque. 

Un autre de ses concurrents était l’oiseau géant Phorusrhacos, qui mangeait probablement les carcasses laissées par Smilodon.

Une autre hypothèse est que le smilodon utilisait ses dents mâchoires fermées pour casser la glace, ou assommer ses proies (eusmilus) à la façon des morses, déchirer les épaisses couches de graisse de mammifères marins. 

Il possédait une alimentation et un comportement proche de celui de l’ours polaire, peut-être était-il même meilleur nageur que celui-ci.

 La musculature du cou ainsi que la taille des vertèbres cervicale et dorsale peuvent étayer cette hypothèse.

Le débat reste ouvert dans la communauté scientifique : Quand et comment sont apparus les premiers grands félins modernes ?

De récentes découvertes ont situé l’apparition de la plus ancienne branche des félins,  il y a plus de 4 millions d’années, dans un endroit des plus inattendus, le Tibet. 

Une découverte a bouleversé tout ce que l’on croyait savoir sur l’évolution des grands félins. 

Sur le plateau tibétain, un véritable trésor de fossiles a été découvert, dont le crâne d’un félin éloigné du léopard des neiges.

Il y a 1 million d’années, les grand félins ressemblaient déjà à ce que nous connaissons aujourd’hui, mais pas pour tous.  

Il y avait en effet un félin plus terrifiant que tous les autres : le Panthera Leo Atrox (le lion  américain), 30% plus gros que le lion que nous connaissons aujourd’hui, il pesait plus de 400 kg et coexistait déjà avec les humains. 

Mais aussi féroce soit-il, l’évolution aura raison des lions des cavernes et des lions américains.

Pour les espèces qui leur survivront, la nature allait leur imposer le plus grand des défis, L’HOMME.

Après plusieurs millions d’année de règne, les lointains ancêtres des lions et des tigres d’aujourd’hui ont du faire face à une nouvelle réalité,  il y a environ 200 000 ans : les premiers humains.

En outre, le climat allait changer radicalement : la Terre entrait dans un nouvel âge de glace.

Les âges de glace se caractérisent par une chute des températures sur la surface du globe et la formation de langues de glace et de glaciers sur toute la planète.

 Les périodes glacières sont ponctuées d’épisodes de températures plus tempérées, ce sont des cycles interglaciaires, nous sommes actuellement dans un de ces épisodes.

C’est à la fin de l’Age de glace que le bras de fer entre l’homme et la « bête » a commencé.

Pendant des milliers d’années, les grands félins et les hommes ont appris à cohabiter, partageant ainsi la terre et la nourriture.

En Afrique, les premier humains ont évolué vers un équilibre, les hommes vivaient avec les prédateurs de leur écosystème, ils avaient certainement une peur et du respect pour ces grands félins.

Si les premiers hommes avaient trouvé le moyen de cohabiter avec ces grands félins, pourquoi aujourd’hui,  n’en sommes-nous plus capables ?C’est très facile d’éradiquer ce que la nature a mis plusieurs années à créer et faire évoluer.

Pour survivre aujourd’hui, les grands félins doivent faire face à la disparition dramatique de leur habitat naturel et de la raréfaction des proies. 

La nature en a fait pourtant des prédateur hors pairs, et ce qui leur a permis de survivre, jusqu’à aujourd’hui, pourrait leur permettre d’affronter le futur.

Seul l’ancêtre du cougar, puma ou lion des montagnes est le seul avoir survécu aux autres grands félins grâce à son pouvoir d’adaptation, sa diversité de proies et ses vastes habitats sur tout le continent nord- américain.

Quel âge a la famille Felidae ?

Les plus récents fossiles enregistrés pour la famille Felidae datent de la fin de la période Eocene, il y a 34 millions d’années. 

Si l’on prenait une seconde pour évoquer chaque année, soit le temps de dire « mille un », l’âge de la famille des félins représenterait environ une année et 5 semaines. 

En comparaison, les grandes pyramides de Gize demanderaient 83 minutes, et Internet moins de 13 secondes (pour 2006). 

Le premier félin connu était l’Aelurogale. Ses descendants, Proailurus, culminent au sommet de la branche principale de la famille des félins que nous connaissons aujourd’hui, tout comme les deux genres de chats à dents de sabre. 

Proailurus a vécu en Europe il y a 20 à 30 millions d’années.

Les fossiles de félins les plus connus

Le Smilodon –Smilodon fatalis et autres-, aussi appelé tigre à dent de sabre était un animal de la famille des félidés qui vivait en Amérique entre 2,5 millions et 10 milliers d’années. 

Il mesurait jusqu’à trois mètres de long et était agile, mais rapide sur de courtes distances seulement.

Son fossile fait partie des fossiles les plus reconnus. 

Un Smilodon à l’âge adulte pesait environ 203 kg (450 livres) et avait des crocs de 17 cm (7 pouces) qui figurent sur des peintures préhistoriques (dans des cavernes de France) représentant de grands lions.

Le lion d’Amérique – Panthera atrox – a vécu il y a entre 10 000 et 25 000 ans en Amérique du Nord.

Pendant son règne, ce félin était plus gros, de 1/4 environ, que le lion d’Afrique, voire plus gros que le tigre de Sibérie.

Un mâle moyen de 3,50 mètres de long pèsera en moyenne 235 kg (520 livres). Les femelles étaient plus petites, pesant en moyenne 175 kg (385 livres). 

Les études sur les fossiles ont démontré qu’il avait le cerveau le plus développé de tous les chats.

Le lion des cavernes d’Eurasie – Panthera spelaea – a vécu il y a entre 10 000 et 30 000 ans depuis l’Angleterre jusqu’à la Sibérie.

 C’était le plus gros chat qui ait jamais vécu; il était 25% plus gros que le lion d’Afrique et même plus gros que celui de Sibérie. 

Les peintures et statues préhistoriques ont démontré que ce chat présentait des rayures discrètes, une ébauche de crinière et de grandes oreilles saillantes.

Miracinonyx – Miracinonyx trunami et autres -, parfois aussi appelé « guépard américain », est comme un guépard et utilise la même technique pour courir derrière ses proies. 

On peut penser qu’il a le même ancêtre que le puma. 

Miracinonyx a vécu il y a entre 10 000 et 3 millions d’années dans les prairies et les plaines d’Amérique du Nord, où il se spécialisa dans la chasse aux nouveaux herbivores tels que les Pronghorns.

Pourquoi ces énormes dents ?

Certes, elles étaient utilisées à la chasse, mais les avis divergent quant à exactement leur utilisation.

Certains paléontologues ont suggéré qu’elles étaient utilisées pour saisir et tenir sur une proie.

Cependant, suite à une attaque, un grand herbivore pouvait facilement briser les dents de sabre, même si, ce type de dents, brisés durant la vie d’un animal, sont rares dans les gisements fossiles.

Une hypothèse plus plausible suggère que les dents de sabre  servaient à déchirer la peau de la proie et infliger une blessure mortelle au ventre ou de la gorge.

Les carnivores à dents de sabre livraient probablement des coups à l’instar de « couteau paralysant », puis ils attendaient patiemment que leur proie meure.

Le nom  » machairodus «  est trompeur car ces animaux ne sont pas étroitement liés aux tigres. 

Des fossiles récents de taille adulte sont représentés dans les grandes collections de Berkeley.

Le premier Président de l’Université de Californie, appartenant au Département de paléontologie, le professeur John C. Merriam, et son élève Chester Stock, ont fait une monographie de la morphologie de ce grand carnivore en 1932. 

Depuis lors, des centaines de milliers d’os de Smilodons ont été trouvés à La Brea. 

Ces découvertes ont permis des reconstitutions remarquablement détaillées sur la façon dont le Smilodon a vécu. 

Nous savons maintenant que le Smilodon avait des pattes plus courtes que les lions d’aujourd’hui mais, était presque deux fois plus lourd.

En outre, contrairement aux guépards et aux lions (qui ont de longues queues qui les aident à fournir l’équilibre lorsqu’ils courent), le Smilodon avait une queue écourtée. 

Cela suggère que le Smilodon ne devait pas chasser ses proies sur de longues distances comme des lions, des léopards, des guépards. 

Au lieu de cela, il pratiquait probablement la technique de l’embuscade, attendant que ses proies se rapprochent pour attaquer.

Le Smilodon est un animal à dents de sabres vivant à la fin du Pléistocène. 

Il a disparu il y a environ 10.000 ans. 

Les fossiles ont été trouvés partout en Amérique du Nord et en Europe. 

Les fossiles de Smilodon des puits de goudron de La Brea comprennent des os qui présentent des signes de concassage ou de blessures graves de rupture, d’arthrite invalidante et d’autres maladies dégénératives. 

Ces problèmes auraient du être débilitants pour les animaux blessés. 

Pourtant, beaucoup de ces os montrent des guérisons et indiquent que même les animaux mutilés avaient survécu pendant un certain temps après leurs blessures.

Les Félins à dents de Sabre

Avec leurs énormes canines, extrêmement tranchantes, les carnivores à dents de sabre sont bien connus de beaucoup de gens pour être des prédateurs redoutables et féroces du Cénozoïque.

Il y a plus d’un  » Tigre à dents de sabre, étonnamment.  » 

La morphologie du Tigre à dents de sabres est apparue à plusieurs reprises au cours de l’histoire des mammifères.

 L’ordre des mammifères contient les félins, les chiens, les ours, les belettes et autres.

Les tigres à dents de sabre ont évolué à la fois chez les vrais félins, ou la famille des félidés

Les félins à dents de sabre sont parfois classés dans une sous-famille distincte de félins, la Machairodontinae et dans le Nimravidae (une famille de carnivores éteint qui a été liée à la fois aux vrais chats et les civettes et mangoustes).

Le Hyaenodontidae, une famille de l’ordre des mammifères éteints des Creodonta, comprenait également des félins à dents de sabre.

La morphologie des félins à dents de sabre est un excellent exemple d’une évolution convergente, comme il est apparu indépendamment dans plusieurs lignées évolutives.

Comment ont-ils survécu ?

Il semble plus que probable qu’ils ont été pris en charge ou au moins, ont eu le droit de se nourrir avec d’autres carnivores à dents de sabre. 

Le Smilodon semble avoir vécu en groupe et vivait dans une structure sociale semblable aux lions modernes.

 Ils étaient différents des tigres et de tous les autres félins actuels vivants, qui sont eux, des chasseurs solitaires. 

La vie sociale du Smilodon n’a pas toujours été pacifique. 

Les félins peuvent avoir combattu pour leurs nourritures ou pour leurs compagnes comme des lions font aujourd’hui. 

Ces combats ont probablement été accompagnés de rugissements. 

Nous savons qu’il pourrait rugir grâce à la structure des os hyoïde dans leur gorge.

Pendant des années, les chats domestiques furent considérés comme une espèce différente de tous les autres chats (Felis catus). 

Il est aujourd’hui prouvé qu’ils forment en fait une sous-espèce des chats sauvages (Felis sylvestris), ainsi ils ont pris le nom Felis syvestris catus. 

L’archéologie a démontré une relation entre l’Homme et le chat au cours des 8,000 dernières années.

La relation la plus atypique fut celle des égyptiens, qui considéraient les chats comme étant les représentants de la volonté divine.

En fait, lorsqu’un chat mourait, les membres de la famille lui rendaient hommage en se rasant les sourcils; les chats étaient souvent momifiés et inspiraient un profond respect.

D’autres chats ont compté durant des années pour diverses raisons, mais les relations n’ont jamais duré assez longtemps pour permettre une véritable domestication. 

Le terme accepté pour les fauves, tels les lions ou les guépards, qui toléraient une présence humaine était « sociable avec l’Homme ». 

Ces animaux vivaient quand même leurs instincts sauvages mais ne pouvaient se soumettre à un dressage, lequel s’avérait plus souvent une véritable épreuve. 

Il existe des peintures et des sculptures de lois anciennes où des fauves sont assis près du trône. 

De nombreuses gens dressaient les guépards pour chasser la proie rapide.

Certaines espèces de fossiles tels le Smilodon, le lion des cavernes, et le lion d’Amérique étaient chassés par les premiers humains, ce qui a probablement contribué à leur extinction. 

Souhaitons que les historiens du futur aient conscience du fait que nous ne sommes pas responsables de la disparition d’un plus grand nombre de ces animaux magnifiques.

Quand les premiers « vrais » félins ont commencé à s’étendre à travers le monde, ils ont du s’adapter à leur nouvel environnement.

Dans les forêts, les premiers tigres et léopards ont fait leur apparition.

Dans les grandes étendues herbeuses, les lions et les guépards ont commencé à assoir leur règne. 

Ils ont aussi commencé à développer des traits de camouflage qui deviendront leur signe distinctif.

L’ histoire des félins

La famille des félidés regroupe tous les félins du monde allant de votre petit chat domestique jusqu’au gros tigre de Sibérie. 

Cette famille regroupe donc les animaux suivants : le Lion, le Tigre, le Guépard, la Panthère, le Jaguar, le Couguar, le Lynx, le Caracal, le Serval, l’Ocelot, les chats sauvages et…….. le Chat domestique.

Les premières traces sur l’existence des félins qu’on a pu trouver, remonte à un plus de 10 millions d’années. 

Les spécialistes ont beaucoup de difficultés à retrouver des fossiles de leurs ancêtres et ne peuvent pas encore réaliser une image ou un dessin qui représenterait le plus réellement possible le premier félin.

LES CHATS ET L’OCELOT

Les origines propres aux chats et les petits félins (comme l’ocelot) sont difficiles à retrouver. 

On sait notamment qu’il y avait des chats sauvages dans les forêts de l’Égypte ancienne et dans tout le croissant fertile il y a plusieurs milliers d’années (vers 3500 av. J-C), soit au tout début des origines connues de ce peuple.

LE LYNX.

Par contre, on connaît un peu plus sur les origines du Lynx. 

On croit que ses premiers ancêtres remonteraient à près de 4 millions d’années et on lui a donné le nom de « Lynx Issoire ». 

Ce premier lynx était plus grand que les espèces qu’on retrouve aujourd’hui.

LA PANTHÈRE

Le Jaguar et le Léopard partagent quant à eux une histoire commune. 

Concentrés dans les régions actuelles de l’Europe et l’Asie, ils remonteraient à près de 2 millions d’années. 

Le léopard s’est retrouvé davantage dans l’Ouest de l’Europe où s’est développé par la suite (env. 1 million d’années) la panthère d’Asie. 

À cette période, le léopard a voyagé vers le sud du continent (en Afrique), alors que la panthère s’est développée dans les pays de l’Asie (Chine, Inde, Corée). 

Pour ce qui est du jaguar, on le retrouvait plutôt dans les régions de l’Est du continent (Russie, Hongrie, Pologne). 

On croit qu’il aurait voyagé par pont de terre Bering ce serait pour cette raison qu’il se serait retrouvé en Amérique.

 Les premiers jaguars étaient plus grands et plus gros, ainsi que des pattes plus longues que le jaguar moderne.

LE TIGRE.

Le tigre pour sa part, aurait des ancêtres depuis un demi-million d’années. 

On le retrouvait tout d’abord en Asie Centrale (Chine, Corée) et s’est ensuite répandu dans l’Ouest (Inde, Russie notamment). 

On pense que le tigre vivant actuellement en Chine du Nord (le tigre de Mandchourie) serait la sous-espèce connue la plus proche des premières espèces de tigres.

LE LION.

Les découvertes de fossiles d’animaux ressemblant au lion, laissent croire que ce dernier aurait des origines ayant au moins 750 000 ans. 

Mais, une théorie laisserait croire qu’ils dateraient peut-être de 3 millions d’années.

Ils s’étendaient partout en Asie et dans une partie de l’Europe.

On a donné le nom de « lion des cavernes » à l’ancêtre du lion africain. 

Il vivait dans la région des Balkans (Grèce, Yougoslavie, Albanie, Turquie) et s’est ensuite déplacé vers les régions du sud (vers l’Afrique). 

Pour sa part, le lion d’Asie on a donné le nom de « lion Tuscany » à son ancêtre. 

Il vivait dans certaines régions de l’Europe, notamment dans l’Italie du Nord d’aujourd’hui où on a retrouvé certaines traces de ses origines.

LE GUÉPARD.

Enfin, le guépard daterait d’environ 12 000 ans. Il était répandu en Europe de l’Est et dans une partie de l’Asie.

Il a ensuite voyagé vers le sud (en Afrique) il y a quelques milliers d’années.

Les premiers guépards ressemblaient à ceux d’aujourd’hui, mais étaient beaucoup plus grands que ces derniers.

 

 

 

 

 

Source les félins .com

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