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Depuis le mois d’août, dans toute la France, les actes de barbarie contre les animaux se multiplient.

Plus de 2.000 citoyens ont déjà rejoint le collectif « urgences chevaux et milieu rural en danger ».

Les propriétaires et éleveurs de chevaux vivent dans l’angoisse que leurs animaux soient mutilés, blessés voire tués de manière macabre.

Des actes de barbarie qui durent depuis le mois d’août et qui ont lieu dans toute la France.

Des dizaines d’enquêtes ont été lancés mais aucune arrestation n’a encore eu lieu.

Alors pour faire avancer les investigations, propriétaires, professionnels et associations ( dont la notre), ont décidé de former le collectif « urgences chevaux et milieu rural en danger.

Plus de 2.000 citoyens ont rejoint le groupe créé début novembre.

Leur objectif est de déclencher une mobilisation active de la part des services de l’État pour que les enquêtes évoluent , a expliqué ce lundi 9 novembre Laure Amalric, à l’initiative de ce rassemblement, auprès de l’AFP.

« Il est impératif que des moyens techniques, humains et financiers soient octroyés par le gouvernement », a-t-elle ajouté réclamant en urgence un entretien avec les ministres de l’Intérieur, de l’Écologie et de l’Agriculture.

« Nous demandons au gouvernement qu’il assure la sécurité de nos animaux. »

 

Les défenseurs des chevaux comptent sur des aides financières de l’État, notamment pour l’achat de caméras de surveillance.

La région Auvergne Rhône-Alpes leur a déjà alloué un budget de 100.000 euros et celle d’Île-de-France 50.000 euros pour ce type d’équipement, selon eux.

Des dérogations au confinement pour continuer les surveillances des animaux seuls la nuit comptent aussi parmi leurs revendications.

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