La flore et la faune d’Egypte dénombre en effet de multiples espèces en Egypte même si 94% du pays est couvert par le désert.
Du côté de la flore, on peut notamment citer le fameux papyrus ( voir photo) que l’on trouve sur les bords du Nil et de son delta.
Considéré comme signe de renaissance , le papyrus était autrefois utilisé pour confectionner des pagnes, des sandales ainsi que des cordes mais il doit sa célébrité à son usage en tant que papier.
L’Egypte possède également des palmiers, des tamaris, des acacias ainsi que des jacarandas et des poincianas.
La flore et la faune en Egypte se caractérisent par ailleurs par la présence sur le sol égyptien de 430 espèces d’oiseaux dont des cigognes et de nombreux oiseaux migrateurs qui viennent passer l’hiver en terre égyptienne.
Si léopards, hyènes, oryx et lynx du désert ont aujourd’hui disparu, la faune d’Egypte compte encore des dromadaires, utilisés pour le transport, ainsi que des gazelles, des serpents des ânes, des crocodiles ou encore des scorpions.
Particularité de la flore et la faune d’Egypte, le Nil accueille de nombreuses espèces sur ses rives.
Avec 6 671 km de longueur, le Nil constitue d’ailleurs le deuxième plus long fleuve du monde après l’Amazone.
On y trouve notamment des perches du Nil et des poissons chats tandis que sur ses bords vivent des hérons garde-boeuf, des huppes fasciées ou encore des martins-pêcheurs… sans compter les roseaux et les lotus.
Site très prisé par les adeptes du farniente, de la baignade et de l’exploration des fonds marins, la Mer rouge constitue également un lieu privilégié de la flore et de la faune en Egypte.
Y cohabitent aussi bien des mérous que des requins, en passant par des poissons perroquets, des barracudas, des tortues, des murènes, des oursins mais également des dauphins, des lamantins et des baleines.
Le corail de la Mer rouge abrite par ailleurs des nombreuses espèces endémiques qui n’existent, comme leur nom l’indique, qu’en Egypte.
Toutefois, l’attitude désinvolte de certains plongeurs met en danger les récifs coralliens de la Mer rouge.
Aussi, la découverte de la flore et de la faune sous marine d’Egypte ne doit pas se faire sans manifester un respect certain pour des espèces qui méritent d’être préservées.