Une biodiversité unique et endémique.

La flore des Galápagos, est insolite est fait l’objet de bien des études scientifiques. 

La colononisation de l’archipel s’est faite essentielement par voie maritime (un tronc d’arbre flottant…) ou par voie aérienne (oiseaux), ainsi quelques graines sont parvenues jusqu’à l’archipel.

Cette mise en place s’est faite graduellement et très lentement.

La flore et la faune, ne sont pas si riches, mais réellement spécifiques, on dénomme selon la littérature 

  • De 706 à 875 espèces de plantes ont été recensées sur l’archipel.
  • 240 espèces introduites par l’homme.
  • 170 à 228 espèces endémiques.
  • 412 espèces natives.

Elles sont pour autant majoritairement originaires du continent latino-américain, ceci s’explique par le fait que l’archipel est très éloigné du continent.

Pour se développer les végétaux et les plantes ont besoin de conditions climatiques et géologiques spécifiques. 

Aussi, on estime que ce sont les lichens qui, les premiers, ont réussi à s’implanter sur les îles. 

Ils peuvent pousser sur du rocher d’origine volcanique.

Les conditions climatiques et la nature des sols, leur localisation (plaine, vallée, versant, etc.) qui varient selon l’exposition et l’altitude. 

De plus, chaque île des Galápagos est unique. Beaucoup sont désertiques. 

D’autres, plus montagneuses, certaines paraissent relativement plus verdoyantes. 

Aussi, il est assez complexe de définir la répartition des plantes sur l’archipel, néanmoins, on peut schématiser cette répartition en 7 zones.

La zone côtière ou littorale est une étroite bande de terre ou de sable, située directement sur la côte ou sur le bord des lagunes.

On y trouve des végétaux influencés par la salinité de l’eau comme les mangroves, les palétuviers, les pourpiers, myrtes et autres espèces aquatiques. les buissons salés ou les petits arbres. 

Les côtes des Galápagos s’étendent sur des milliers de kilomètres, où se sont posés de nombreux écosystèmes variés.

La zone aride qui s’étend jusqu’à une centaine de mètres d’altitude, principalement volcanique. 

C’est la zone des épineux qui est composée de cactus et d’arbustes dont les palos santos, un arbre blanc et l’acacia, les figuiers de Barbarie et matorrales (gypsophiles). 

Les nuages peuvent passer sans émettre une seule goutte de pluie

La zone de transition, comprise entre 100 et 200 m d’altitude, sépare la zone aride de la zone humide. 

C’est le domaine des palos santos, des guayabillo et des pega pega, au tronc court et aux branches étendues. 

Ses feuilles ont la particularité de coller aux doigts. Les lichens, les herbes vivaces et petits arbustes comme les matazarnos règnent aussi sur la zone de transition

La zone des scalesias s’étend de 200 à 500 m d’altitude. 

Elle tient son nom de son espèce caractéristique, le scalesia (lechoso) qui est un arbre de 10 m de haut aux petites fleurs blanches. 

Cette zone est souvent drapée de broméliacées, de fougères, de mousses et d’orchidées.

La zone brune est la partie finale de la zone précédente et se caractérise par les mousses brunes qui tombent des branches des scalesias.

La zone des miconias (une espèce invasive) s’étend jusqu’à 600 m. 

Ce sont de grands buissons denses de 4 m de haut aux feuilles oranges. 

Les floraisons sont roses ou violettes. 

Mais cette zone correspond également à la principale aire de pâtures et de cultures -café, légumes, oranges et ananas-.

La zone de la Pampa démarre vers 650 m et monte jusqu’au sommet de l’île. 

Très brumeuse, humide et balayée par les vents, cette zone se compose de fougères, d’herbes, de plantes d’eau et de quatre espèces d’orchidées.

LA FAUNE

CHARLES DARWIN (1809-1882)

l est difficile de décrire les différents animaux de la faune des Galápagos sans évoquer Charles Darwin. 

Aussi, en quelques lignes le portrait de cet illustre hôte de l’archipel,

D où toute la base de son travail et sa réflexion a donné naissance à sa théorie de l’évolution et transformé notre façon de penser sur le monde naturel.

Charles Robert Darwin est né le 12 Février 1809 à Shrewsbury, son grand-père paternel était Erasmus Darwin, l’un des grands intellectuels du 18e siècle en Angleterre.

Darwin se destinait à suivre une carrière médicale, et il a étudié à l’Université d’Edimbourg, puis à Cambridge. 

En 1831, il rejoint une expédition scientifique sur le Beagle. 

A cette époque, la plupart des Européens croyaient que le monde avait été créé par Dieu en sept jours, comme décrit dans la Bible. 

C’est aux Galápagos que Darwin a remarqué que chaque île avait sa propre forme de pinson qui était certes étroitement lié, mais en même temps différant de façon importante. 

Il fallait donc travailler sur ces observations étonnantes.

A son retour en Angleterre en 1836, Darwin a essayé de résoudre les énigmes de ces observations et le puzzle de l’évolution des espèces. 

II a proposé une théorie de l’évolution qui se produit par le processus de sélection naturelle. 

Les animaux (ou végétaux) les mieux adaptés à leur environnement sont plus susceptibles de survivre et de se reproduire, en passant sur les caractéristiques qui leur ont permis de survivre à leur progéniture.

Peu à peu, l’espèce évolue dans le temps.

Darwin a travaillé sur sa théorie pendant 20 ans et il a publié le livre :

« De l’origine des espèces par voie de sélection naturelle ».

Le livre a été extrêmement controversé, car la réflexion de Darwin mettait en avant que l’homo sapiens était simplement une autre forme de l’animal, et qu’il répondait donc à une évolution : que l’homme probablement issu des primates. 

Aussi Darwin a été violemment attaqué, notamment par l’Église.

Une véritable révolution idéologique, religieuse et scientifique.

Darwin est mort le 19 Avril 1882 et fut enterré dans l’abbaye de Westminster.

LES OISEAUX

Le fou à pieds bleus se trouve principalement au centre et sur les bords de l’archipel (Española, Daphné, et Seymour Nord). 

Comme son nom l’indique, ils ont les pattes pieds bleus. 

L’accouplement et la nidification se fait toute l’année. 

Ils pondent en moyenne 3 œufs par an, ils peuvent soulever les trois poussins. 

Le fou à pieds bleus pèche près de la côte dans des eaux peu profondes.

Ils plongent de façon spectaculaire. 

Ils peuvent repérer les poissons à 10m et puis plonger dans l’eau avec leurs ailes repliées. 

Le fou à pieds rouges a les pieds rouges, il vit à la périphérie des îles (Genovesa et Punta Pitt), il est moins évident à observer. 

Il part souvent et pendant un certain temps en mer. 

C’est probablement la raison pour laquelle des fous à pieds rouges construisent des nids dans les arbres. 

Ils pondent un seul oeuf par an, en moyenne. Cela se produit généralement quand il y a abondance de nourriture. 

Le fou de Nazca est d’un blanc pur avec une bande noire sur les bords des ailes et la fin de la queue.

Ils ont un bec jaune ou rose. Ils sont présents sur la plupart des îles (notamment sur Genovesa, Española, Daphné). 

Ils ont un cycle de reproduction annuel. 

Ils nichent près des falaises sur le terrain et posent deux œufs à plusieurs jours d’intervalle.

Si l’ancien poussin survit, il va rejeter son petit frère hors du nid. 

Toutefois, si l’ainé meurt, il reste encore une chance, que le cadet survivre. Le fou de Nazca mesure jusqu’à 89 cms. 

Le cormoran aptère est une espèce endémique qui se trouve essentiellement sur le littoral de Fernandina et la rive nord-ouest d’Isabela. 

C’est un grand cormoran (environ 90 cms), il est brun avec un long bec, des ailes très petites et les pieds très grands.

On le rencontre qu’aux Galápagos, il a perdu la capacité de voler. 

Il se nourrit d’oiseaux qui se trouvent près de la rive où il pêche des calamars, des pieuvres, des anguilles et des poissons benthiques. 

Lorsqu’il plonge pour pêcher, il se propulse en coups de pattes puissants. 

Ces ailes lui servent peu, mais lorsqu’il est sur le rivage il les ouvre largement pour les sécher.

On peut ainsi observer leurs petites tailles proportionnellement à ce grand cormoran. 

Pingouins des Galápagos sont les pingouins, les deuxièmes plus petits du monde et cette espèce se trouve essentiellement aux Galápagos et un peu au nord de l’Equateur.

Ils mesurent environ 35 cms de haut, la longueur totale est d’environ 50 cms. 

Sur terre, ils sont très lents et maladroits. 

Mais sous l’eau, ils se déplacent à des vitesses incroyables avec un style très spécial. 

Grâce à leurs ailes comme des palmes, ils filent littéralement autour de l’eau,

ils sont capables de faire des virages serrés, de nager en zigzag et même faire des flips. 

Le manchot des Galápagos se trouve principalement dans les îles occidentales où l’eau est froide, aussi autour de Santiago et Floreana. 

Ils se reproduisent à tout moment au cours de l’année, Ils pondent en moyenne 2 œufs par an.

LES REPTILES

L’iguane marin endémique forme de grandes colonies. 

Ils peuvent mesurer près d’un mètre de longueur et peut peser près de 9 kg. 

Ils sont végétariens et se nourrissent presque exclusivement sur les algues marines. 

Les iguanes marins sont d’excellents nageurs, en utilisant leur queue aplatie et ils peuvent plonger à des profondeurs de 12m. 

Après la plongée les iguanes se rassemblent en grand nombre et se prélassent sur les rochers volcaniques pour se réchauffer au soleil. 

Les algues qu’ils ingèrent contiennent une grande quantité de sel. 

Ils rejettent ce sel en éternuant, cette opération est réalisée grâce à des « glandes à sel » situées au-dessus de chaque œil reliée par un conduit à la narine, qui permettent d’extraire le sel marin. 

Les tortues endémiques des Galápagos sont le symbole de l’archipel, il y a une dizaine d’espèces, mais elles sont très proches. 

En moyenne, une tortue pèse 220 kg et mesure 1,2 m de long (on a observé des tortues atteignant près de 400 kg). 

On estime leur espérance de vie en moyenne de 150 à 200 ans, bien qu’il soit difficile d’évaluer l’espérance de vie des tortues sauvages. 

Dans l’archipel, il y avait la tortue George le solitaire qui représentait le dernier membre de son espèce, mascotte des Galápagos n’est plus…il est mort en juin 2012 et avec lui son espèce.

Les tortues étaient nombreuses sur les îles Galápagos jusqu’à la fin du 19e siècle, mais elles ont ensuite été chassées pour leur viande par les marins et les pêcheurs, et elles étaient quasiment au bord de l’extinction. 

Heureusement depuis quelques décennies, des programmes scientifiques de sauvegarde et de préservation ont été mis en place. 

Et parfois, on assiste à de petits miracles, en effet une étude de l’Université américaine de Yale a annoncé en janvier 2012, la redécouverte d’une espèce de tortues des Galápagos, la Chelonoidis elephantopus, qu’on croyait éteinte depuis 150 ans.

LES MAMMIFÈRES

Aux Galápagos vivent les lions de mer, les otaries à fourrures, les baleines et des dauphins qui peuvent être observés lors de croisière entre les îles. 

On a observé un grand nombre de cétacés sur le côté ouest d’Isabela, où l’eau est plus froide. 

Il y a deux espèces de pinnipèdes vivant sur les îles Galápagos – les otaries à fourrure des Galápagos et les lions de mer des Galápagos qui est aussi une otarie, tous les deux endémiques. 

Ces deux espèces de pinnipèdes ont atteint l’archipel, en venant de directions très différentes.

Otaries à fourrure sont venues du sud et les lions de mer sont venus du nord (leur ancêtre proche est du lion de mer de Californie). 

Les deux sous-familles diffèrent par leur pelage. 

Les lions de mer possèdent un pelage lisse sans sous-poil tandis que les otaries à fourrure possèdent une fourrure hirsute avec un sous-poil dense et très fin. 

La période de reproduction des otaries se situe entre la mi-Août et la mi-Novembre, la plupart des « chiots » naissent vers la fin Septembre et début Octobre. 

Les lions de mer peuvent plonger jusqu’à 70m. 

Leur période de reproduction se situe de mai à janvier. 

Méfiez-vous des lions de mer de sexe masculin, ils peuvent mordre.

LES POISSONS

Jack Grove et Robert J. Lavenberg ont répertorié 444 espèces de poissons dans 112 familles avec 9,2% d’espèces endémiques. 

Les Galápagos sont entourées par l’océan profond, il y a aussi beaucoup de poissons pélagiques repérés ici, plusieurs espèces de requins comme le requin baleine, requins à pointes blanches, Mako, requins renards, plusieurs espèces de requins requiem, des requins marteaux, requins des Galápagos, les mantas, les raies aigle, les mobulas, les thons, les crics, les espadons Marlin et même les crapets énormes (Mola mola et Ranzania laevis).

Les requins :

Le requin-baleine peut mesurer près de 12 m, il s’agit du plus grand requin au monde. 

Sa couleur est grise avec un motif de tâches et de rayures. Il a une bouche énorme et se nourrit de zooplancton, de crustacés pélagiques, petits poissons et de calamars. 

On le rencontre dans les eaux tropicales et tempérées du monde entier.

Le requin-marteau est observé le plus souvent autour de Wolf et Darwin.

Le requin-marteau halicorne mesure 2,5 m de long, il est de couleur grise et se distingue par le rapprochement de son œil et sa narine et il a une tête avec trois lobes ou entailles. 

Ce requin pélagique se nourrit principalement de poissons, de temps en temps sur les céphalopodes et les crustacés. 

On le rencontre dans les eaux tropicales du monde entier

Le requin-marteau lisse peut mesurer de 2,5 à 3,5 m de long, de couleur grise. 

Il se nourrit de céphalopodes et de poissons ainsi que de raies et de petits requins. 

On le trouve dans les régions tropicales, vers les eaux tempérées du monde entier.

Le grand requin marteau peut atteindre 5,5 m de long. 

Il est rare sur la plupart des récifs coralliens. Il se nourrit principalement de poissons, en particulier les raies et petits requins, de temps en temps sur les céphalopodes et les crustacés. 

On le rencontre dans les eaux tropicales du monde entier

Le requin des Galápagos n’est pas endémique aux Galápagos. Il mesure 2,5 à 3,5 m de long, il est gris-brun sur le dessus, blanc-jaune-dessous, avec de longues nageoires pectorales. 

Ils se nourrissent de lions de mer et d’iguanes marins. 

Commun autour d’îles dans le Pacifique Est.

Le requin soyeux est rare aux Galápagos. 

Ils sont minces avec leur première nageoire dorsale bien derrière les nageoires pectorales, gris foncé au gris-noir, peuvent mesurer 3m de long. 

Ils se nourrissent principalement de poissons de grande taille. Les requins soyeux sont des pélagiques et on les trouve largement dans le Pacifique tropical oriental.

Le requin barbotte endémique des Galápagos est un petit requin gris-brun avec des tâches noires. 

Il se nourrit principalement de crustacés, crabes et autres crustacés. 

Ce requin a une tête en forme de boîte avec une grande crête sur les yeux et une épine pointue (cor) à l’avant des deux nageoires dorsales. 

Ce requin est connu aussi connu sous le nom de Port Jackson.

Les bancs de poissons communs :

Le poisson du Pacifique créole est probablement le poisson le plus commun dans tout l’archipel. 

Il est vert olive au-dessous et gris et rouge cuivre au-dessus avec quelques tâches blanches. 

Les jeunes sont de couleur jaune avec des tâches bleues. 

Ils forment des bancs énormes, ils se nourrissent de petits poissons et de plancton. 

Ils sont une source importante de nourriture pour les fous à pieds bleus. Ils mesurent environ 35 cms.

Le roi Angelfish est en bleu foncé ou noir avec une barre verticale blanche. 

Les femelles sont jaunes, oranges ou noisette marron avec rayures verticales bleues et jaunes nageoires pectorales. 

Ils vivent également au nord du Panama, du Costa Rica et de la basse Californie. 

Ils sont visibles aux les Galápagos avec les requins marteaux ou mantas, car ils nettoient ces différentes espèces de leurs parasites. 

Ils se nourrissent aussi de petits invertébrés et algues. Ils mesurent environ 25 à 30 cms.

Le Butterflyfish Blacknosed est un poisson de petite taille (13 cms) dans le Pacifique oriental.

Ils aiment les récifs rocheux, ils nettoient d’autres poissons, ils retirent les parasites de leur peau.

Le Chirurgien Yellowtailed ne se trouve que dans le Pacifique Est. 

C’est le chirurgien le plus courant dans les Galápagos, gris argenté avec de petits points noirs et deux rayures sombres autour des yeux et une queue jaune avec trois épines rétractables à la base. 

Ils sont en général en eau peu profonde. 

Ils se nourrissent d’algues fixées aux rochers. Ils mesurent environ 46 cms.

Le Grunt endémique des Galápagos est rarement observé, mais on peut le voir dans les eaux de Fernandina.

Il a de grandes écailles argentées avec des marques sombres. 

Ils vivent au dessus des rochers, près des récifs et des tombants.

Le Grunt aux yeux d’or est également très fréquent, mais pas endémique. 

Il se situe sur les récifs rocheux ou sableux.

Les autres poissons :

Un autre poisson endémique aux Galápagos est le blanc tacheté de Sea Rock Bass, un loup de mer.

Ce poisson est commun autour d´Isabela et aime l’eau froide, de sorte qu’il se trouve surtout dans les zones d’upwelling. 

Longueur 25 cms environ. 

Un autre loup de mer est le mérou Sailfin (qui est commun autour de l’archipel tout entier. 

Alors qu’il est généralement d’une couleur grise ou brune, il peut aussi être jaune vif d’or).

Ils sont connus comme bacalao rey (le roi bacalao). 

C’est un poisson important pour l’économie aux Galápagos. 

Il peut atteindre 1 m de long.

Le Wrasse Arlequin ou rascasse préfère l’eau froide et n´est donc plus fréquent sur les îles de l’ouest. Une autre rascasse est présente : la rascasse mexicaine qui a des nageoires allongées et va du gris au bleu-vert.

Le Chirurgien Goldrimmed se trouve principalement autour d´Isabela, Darwin et Wolf et il est rare dans le reste de l’archipel. 

Ils sont bleu foncé avec une queue blanche et allongée et une tâche blanche juste en dessous de l’œil.

Ils sont herbivores et se nourrissent d’algues filamenteuses. Ils mesurent près de 21 cms.

Le poisson lune et le mince Mola sont présents aux Galápagos, notamment sur Punta Vicente, Seymour Nord, Española et le sud d’Isabela.

L’hippocampe du Pacifique est l’hippocampe présent dans le Pacifique oriental. 

Il a des colorations très variables, du rouge à nuances de gris, jaune, or et marron. 

Ils sont très bien dissimulés et se trouvent souvent parmi les buissons de corail noir et des gorgones.

Ils se nourrissent de petits crustacés et de zooplancton. 

Bien qu’il soit vu sur les récifs autour des coraux, il semble que cet hippocampe passe beaucoup de sa vie dans la mer. 

Il mesure de 24 à 29 cms.

Les poissons benthiques (Poisson de fond qui vit de préférence loin de la surface de l’eau).

La chauve-souris aux lèvres rouges comme son nom l’indique, ce poisson a des lèvres rouges vives et mesure environ 17 cms.

Le Platax Walking dont les ailerons ne servent surtout qu’à « sautiller » à travers le plancher océanique. 

Ils ne nagent qu´occasionnellement et de façon assez lourde. 

Ils se nourrissent de petits invertébrés comme les crabes et les mollusques. 

Ils vivent habituellement sur le sable, les gravats ou les fonds rocheux. 

On le trouve dans tout l’archipel des Galápagos, il est actif la nuit.

Le Zebra murène est rare dans tout l’archipel, il s’agit d’une murène avec un motif de couleur unique, en noir et blanc qui lui donne son nom. 

Son museau est zébré, il se nourrit, de crabes et de crustacés ainsi que d’escargots des oursins. 

Il chasse dans les des récifs et s’aventure rarement au grand jour. 

Il mesure environ 88 cms.

Les anguilles de jardin sont des espèces endémiques des Galápagos. 

Elles sont brun foncé avec une rangée de tâches blanches sur les côtés du corps. 

Ces anguilles vivent dans des zones sablonneuses où il y a un peu de courant, afin qu’elles puissent se nourrir de zooplancton. 

Elles mesurent environ 44 cms. 

On les trouve également dans les eaux de Mosquera, des îles Plazas et de la couronne des Devils.

LES INVERTÉBRÉS

Les concombres de mer, oursins, crabes et crevettes, éponges et anémones vivent dans l’eau autour des Galápagos. 

Il existe plusieurs espèces endémiques, tels que les coraux des Galápagos, des coraux noirs, les 3 espèces de limaces de mer ainsi que certaines espèces de crabes, de chitons, les pétoncles et les étoiles de mer. 

Il y a plus d’une centaine d’espèces de mollusques trouvés dans les Galápagos, environ 18% des mollusques d’eau peu profondes sont endémiques.

 Il y a aussi deux espèces de limaces intertidales (vivant dans les mangroves des estuaires ou sur les côtes rocheuses qui sont endémiques aux Galápagos).

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