En raison du développement agricole du bassin du Gange, presque toute sa végétation forestière d’origine a disparu.
On constate que seul le Robusta Shorea a su résister en haut et le Bombax ceiba en bas
. La forte présence humaine et les influences climatiques dans cette zone empêchent davantage de végétation de se développer.
Cependant, dans le delta du Gange, il est possible de trouver une réserve de mangrove dense dans les Sundarbans.
Ces mêmes facteurs, les conditions humaines et climatiques, en plus de la pollution de l’eau, ont un impact négatif sur l’existence des espèces animales dans le Gange.
Seuls les versants de l’Himalaya et du delta du Gange ont des zones relativement calmes sans trop de perturbations d’origine humaine.
La partie supérieure de la plaine abrite des rhinocéros indiens ( voir photo), des éléphants d’Asie, des tigres du Bengale ( voir photo ci- dessous ), des lions indiens, des paresseux et des bisons. 
Actuellement, seules des espèces telles que le loup indien, le renard roux et le renard du Bengale et le chacal doré peuvent être trouvées.
Parmi les oiseaux se trouvent des perdrix, des coqs, des corbeaux, des étourneaux et des canards qui migrent en hiver.
Les animaux en danger comprennent l’antilope à quatre cornes, l’outarde indienne, la petite outarde et le dauphin animal aquatique national du Gange en Inde.
La faune de la zone inférieure ne diffère pas beaucoup de la faune de la zone supérieure,bien que des espèces telles que la grande civette indienne et la loutre lisse aient été ajoutées.
Le tigre du Bengale a une zone protégée dans le delta du Gange.
On estime qu’il y a environ 350 espèces de poissons dans ses eaux.
Parmi les reptiles, les crocodiles sont les plus importants, comme les crocodiles des marais et les crocodiles ; et les tortues, telles que la tortue à trois rayures, la tortue noire indienne, la tortue géante Cantor, la tortue molle indienne, etc.
Comme vous pouvez le constater, l’un des fleuves les plus fréquentés au monde est complètement polluée et perd sa biodiversité.
Que ce soit par la culture ou le développement économique, les êtres humains affectent négativement les écosystèmes naturels.
